La transpiration excessive des aisselles peut aujourd’hui être prise en charge de façon définitive grâce à la nouvelle technologie du miraDRY®. Plus de 200 000 traitements ont déjà été réalisés à travers le monde avec cette technologie développée aux États -Unis et agrée par la FDA (Food and Drug Administration).
Le principe du miraDRY® est d’émettre des ondes électromagnétiques ultracourtes, générant de la chaleur qui elle va détruire les glandes sudoripares des aisselles. Cette destruction est immédiate et définitive. Il faut en général entre 4 à 6 mois pour que les résultats de ce traitement soient stables, la transpiration est éliminée à 82%, les odeurs disparaissent. La destruction des glandes sudoripares des aisselles n’affecte pas la thermo régulation de l’ensemble du corps.
Le Docteur Guyomarc’h propose ce traitement au sein du Centre Laser CLMO de St Priest en Jarez. Peu de centres lasers ou de cabinets médicaux sont dotés de cette technologie innovante.
Une anesthésie locale est réalisée en début de traitement, une grille appliquée en début de traitement est appliquée sur la peau. Le traitement démarre avec des tirs calibrés envoyés selon cette grille. La zone est protégée de la chaleur grâce à un système de refroidissement intégré.
Des rougeurs, œdèmes, hématomes peuvent apparaitre en fin de séance dans la zone traitée, ces effets secondaires sont transitoires et disparaissent en quelques jours. Il n’y a pas d’éviction sociale à la suite de ce traitement, vous pourrez reprendre immédiatement vos activités quotidiennes, mais en évitant toutefois le sport.
Une seule séance peut être suffisante dans 80% des cas ! Les résultats sont immédiats, la transpiration s’arrête, les odeurs disparaissent, votre vie est transformée au quotidien. Associée à la disparition de la transpiration, il est intéressant de noter que le miraDRY® détruit également par la chaleur les follicules pileux situés dans la zone traitée.
Un traitement par miraDRY®est contre-indiqué chez des patients :
Des précautions d’emploi seront à respecter après un curage ganglionnaire suite à un cancer du sein, en présence de kystes au niveau des aisselles, dans le cas de la maladie de Verneuil.
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